
Enfants jouant dans une aire de loisirs, 18e rue et rue Bigler, Philadelphie, Pennsylvanie, 28 août 1954. ARCH401835. Fonds Cornelia Hahn Oberlander, Centre Canadien d’Architecture, don de Cornelia Hahn Oberlander. Photographe inconnu.View of children playing in recreational area, 18th and Bigler Streets, Philadelphia, Pennsylvania, 28 August 1954. ARCH401835. Cornelia Hahn Oberlander fonds, Canadian Centre for Architecture, Gift of Cornelia Hahn Oberlander. Photographer Unknown.
Il est grand temps: Les terrains de jeux et les logements sociaux de Cornelia Hahn Oberlander
Amery Calvelli
Au cours d’une carrière s’étendant sur sept décennies, Cornelia Hahn Oberlander est parvenue à rapprocher les gens des centres urbains et des milieux ruraux de leur environnement naturel. Les toits végétalisés qu’elle a réalisés innovaient à la fois sur le plan technologique et dans leur manière de relier les déplacements des utilisateurs dans les espaces entre les bâtiments. Le premier, réalisé en 1978 lorsqu’elle travaille avec l’architecte Arthur Erickson sur le complexe du gouvernement provincial de Robson Square, comprend un « gratte-ciel horizontal » et un jardin-terrasse d’une superficie de trois pâtés de maisons.1 Quinze ans plus tard, Oberlander travaille sur l’édifice C.K. Choi pour l’Asian Institute of Research de l’Université de la Colombie-Britannique avec une équipe de designers et d’ingénieurs dirigée par des femmes. Avec ce projet, elle élève les standards en matière de durabilité en intégrant des systèmes en circuits fermés, et éliminant même le besoin de raccorder le bâtiment au système de traitement des eaux usées municipal. Bien que Cornelia Hahn Oberlander ait dirigé de nombreux projets remarquables, et que chacun d’entre eux représente un avancement dans le domaine de l’architecture paysagère, tout en réintégrant une certaine vie sauvage aux villes, cette exposition est axée sur son engagement inébranlable pour la relation entre l’humain et les environnements construits, tel qu’illustré par ses terrains de jeux et ses logements sociaux.
« Le jeu, » écrit Oberlander, « c’est l’interaction entre l’enfant et son environnement. »2 Elle a créé plus de 70 terrains de jeux qui invitent les enfants, les adolescents et les familles des centres urbains à interagir socialement, à développer leur créativité et à trouver des liens plus profonds avec leur environnement naturel. Ses terrains de jeux résultent de la recherche d’éducateurs, utilisant le langage de l’activité physique et de l’interaction sociale afin de constituer de véritables leçons sur la formation des liens physiques et affectifs.
Dans son bilan exhaustif, où elle définit les terrains de jeux comme étant un véritable mouvement, la politologue et urbaniste suisse Gabriela Burkhalter relève quatre périodes : l’évolution sociale du jeu et l’augmentation du temps dédié aux loisirs au début du 20e siècle; la présence accrue de matériaux naturels dans les terrains de jeux des années 1930; l’influence de l’engagement communautaire sur le design des années 1960; et enfin, une ambition diminuée vingt ans plus tard avec l’arrivée de normes de sécurité qui engendrent une standardisation drastique des terrains de jeux. Cette dernière période a souvent été critiquée pour avoir privilégié la protection au détriment du jeu, tout en réduisant la capacité de l’enfant à expérimenter et à prendre des risques calculés.3
« Ce qui semblait être un créneau négligeable, » écrit Burkhalter, « s’est avéré être tout un domaine d’expérimentation publique, une source de conflit entre l’innovant et les normes établies, et un site où les adultes comme les enfants pouvaient projeter leurs désirs—bref, les terrains de jeux détiennent un potentiel subversif. »4
Au début des années 1950, les terrains de jeux d’Oberlander étaient à l’avant-garde d’une période fertile dans le domaine du design de terrains de jeux, et où la pédagogie et l’interaction sociale avaient un impact sur leur conception. La force du travail d’Oberlander vient de sa détermination à élargir les frontières de l’architecture paysagère afin d’y inclure des considérations d’ordre urbanistique et de bien public. Elle exhortait les designers à songer à la communauté et aux autorités élues comme étant eux-mêmes des « clients ».5
En tant qu’urbaniste social pour le Citizens’ Council on City Planning (le conseil citoyen de planification urbaine) entre 1951 et 1953, Oberlander visite les quartiers du nord de Philadelphie. À l’époque, le conseil citoyen était révolutionnaire aux États-Unis. Il s’agissait de l’un des premiers efforts d’intégration de l’engagement citoyen au sein du processus de planification urbaine.6 Elle se rappelle sa visite dans la pharmacie d’un de ces quartiers, où son questionnement concernant un terrain vague avoisinant l’ont tout de suite inspirée à faire un croquis pour un éventuel parc. Ce sentiment d’urgence répondait à la vie du quartier. Elle anticipait de vagues promesses comme « un jour, la ville construira un parc ici » avec « …mais c’est immédiatement que vous avez besoin d’un parc, car votre quartier est très peuplé. »7
Son travail au conseil citoyen a eu lieu peu de temps après un exercice de visualisation dirigé par l’urbaniste Edmund Bacon et l’architecte Oscar Stonorov : l’exposition Better Philadelphia Exhibition, présentée dans un grand magasin en 1947. La volonté politique avait fait en sorte qu’un plan de loisir pour la ville était déjà en route. En 1952, l’un des premiers sites à être désigné était un parc au coin de la 18e rue et de la rue Bigler, et deviendrait le premier projet solo d’Oberlander.
En recueillant des données afin de mieux comprendre la population, l’écart d’âge et les considérations physiques du site,8 Oberlander a choisi pour ce projet de se distancier des conventions en remplaçant la surface en asphalte habituelle et ses installations en tuyaux d’acier avec du sable, de l’eau, et des composantes libres qui activaient l’imaginaire. Goat Mountain, une structure de jeu en béton qui réinterprète la forme ordinaire d’un escalier avec un relief topographique, devient une scène pour chorégraphie improvisée. Cette structure abstraite, avec son toboggan biomorphe conçu par le sculpteur danois Egon Møller-Nielsen, émane de l’intérêt qui à l’époque consistait à inspirer la créativité des enfants à travers la forme. À l’ouverture du parc en septembre 1954, le magazine Life a noté que sa conception et son équipement étaient « excitants ».
L’aménagement de terrain de jeu le plus connu d’Oberlander est le Centre d’activités créatrices pour enfants d’Expo 67. Elle fut l’une des pionnières du « terrain de jeu actif », un concept mis en avant dès 1946 par l’architecte paysagiste britannique Lady Allen of Hurtwood,9 après avoir vu Emdrup, un terrain de jeu par Carl Theodore Sørensen conçu avec des déchets et des débris, situé dans un parc résidentiel danois. Oberlander a développé les notions de « composantes libres » et de « jeu spontané » avec son Centre d’activités créatrices en incorporant des bûches pour bâtir des structures, du sable avec du bois de grève, et un doris de la Nouvelle-Écosse dans un ruisseau. Conçu pour être un « parc de poche », il sert à démontrer comment les petits espaces urbains vacants peuvent être transformés en espaces verts actifs. Trente-mille enfants y ont joué entre avril et octobre 1967, mettant à l’épreuve la notion de terrain de jeu actif avec un public beaucoup plus vaste que celui d’un parc de quartier traditionnel.10 Par la suite, le terrain a continué d’être reconnu pour sa contribution à la dimension sociale et développementale du jeu. Cinq ans plus tard, Oberlander a écrit Playgrounds… a plea for utopia or the re-cycled empty lot (Terrains de jeux… plaidoyer pour une utopie ou le terrain vague recyclé), publié par Santé et Bien-être social Canada, et continuerait de plaider en faveur du jeu spontané dans les décennies à suivre.
Du comestible équitable
Oberlander a été très tôt interpellée à travailler sur des projets de logements sociaux. Il se peut qu’elle ait été influencée par son grand-père, qui était préoccupé par la question des logements publics alors qu’il était professeur d’économie et d’histoire à l’Université de Berlin. Plus tard, son grand-père a supervisé la construction d’une école et d’infrastructures de transport public alors qu’il était conseiller municipal d’une petite ville à l’extérieur de Berlin.11 On peut également établir un lien entre l’enfance d’Oberlander et son penchant pour les jardins comestibles : sa mère était horticultrice et auteure, et dès son plus jeune âge Oberlander prenait soin de plants de carottes et de pois dans son propre jardinet de trois pieds carrés.
Ses premiers projets de logements publics remontent aux années 1950 à Philadelphie : elle fut recrutée par Oscar Stonorov afin de travailler avec l’architecte Dan Kiley sur le complexe de logements sociaux Schuylkill Falls, et aussi de collaborer avec Kiley sur le projet de réaménagement des logements sociaux Mill Creek pour l’architecte Louis Kahn. Oberlander a trouvé un moyen de répartir l’accès aux espaces ouverts et aux arbres de manière équitable entre toutes les unités du rez-de-chaussée. En 1965, elle a intégré un potager, un terrain de jeu, et une aire de piquenique aux logements à coût modique Skeena Terrace, à Vancouver.12 Ce projet d’aménagement demeure intact à ce jour.

Plan d’aménagement pour la terrasse-jardin du Portland Hotel, Vancouver, Colombie-Britannique, 27 mars 1996. ARCH283111. Fonds Cornelia Hahn Oberlander, Centre Canadien d’Architecture, don de Cornelia Hahn Oberlander. Roof garden landscape plan for Portland Hotel, Vancouver, British Columbia, 27 March 1996. ARCH283111. Cornelia Hahn Oberlander fonds, Canadian Centre for Architecture, Gift of Cornelia Hahn Oberlander.
En 2000, Oberlander a collaboré avec Arthur Erickson et Nick Milkovich sur le Portland Hotel, un complexe de logements hors marché sur la rue Hastings dans le quartier Lower East Side de Vancouver. Oberlander a conçu une cour intérieure et un jardin-terrasse pour la population affectée par les maladies mentales et la dépendance. Elle créa un environnement qui pourrait offrir l’expérience d’une cour arrière de maison en y plantant des plants de bleuets et de fraises, des pommiers, et meublant la cour d’éléments caractéristiques d’un foyer résidentiel, plutôt qu’un aménagement industriel rigide.
Le jeu et l’avenir
Lorsque Oberlander travaillait avec Dan Kiley, il lui conseilla de « fouler le sol d’un pas léger ».13 Elle prit ce conseil à cœur, surtout dans le travail effectué dans les Territoires du Nord-Ouest. Tout au long de sa carrière Oberlander fait preuve d’une très grande sensibilité pour l’écologie, et ses écrits et conférences citent une large gamme d’inspirations écologiques, comme l’éthique du design de l’écologiste Aldo Leopold et Silent Spring de Rachel Carson. Mais c’est le rapport Brundtland, Notre avenir à tous, publié en 1987 (qui explore les relations entre l’équité sociale, l’environnement et la croissance économique), qui viendra recentrer la pratique d’Oberlander.14
Dans une entrevue qu’elle a donnée sur l’East Three School d’Inuvik, Oberlander a révélé les raisons pour lesquelles ce lien avec l’environnement est si essentiel et urgent : « Dans les 20 ou 30 prochaines années, que vous viviez dans les villes ou dans le nord, la sécurité alimentaire sera l’enjeu numéro un. »15
Cette nouvelle école, située au nord de Yellowknife, deux degrés au nord du cercle polaire sur la rivière Mackenzie, devait remplacer des bâtiments scolaires endommagés par la fonte du pergélisol, un phénomène relevé dans la région par des scientifiques depuis les années 1960.16 Travaillant avec Pin/Taylor Architects, Oberlander a relié quatre terrains de jeu distincts destinés aux enfants de la maternelle à la 12e année. L’école, ancrée dans le pergélisol avec des pieux de 30 pieds de long, évite l’utilisation d’escaliers et répond au souhait de la communauté d’entrer dans le bâtiment directement au niveau du sol. Le paysage se démarque avec une berme escarpée qui entoure le bâtiment et une utilisation innovante du terrassement qui permet d’accéder à l’entrée de l’école ainsi qu’à chaque terrain de jeu.
Le jeu, la culture locale, les changements climatiques et les plantes sont à la base des connaissances qui ont guidé le processus de conception. Les archives d’Oberlander démontrent sa recherche exhaustive : des articles sur le pergélisol et sur les effets du réchauffement planétaire, des éléments de recherche sur les jeux nordiques traditionnels (le coup de pied, le coup de pied double, le saut sur jointures, etc.), un exemple de jardin d’école comestible, une matrice de développement cognitif, des activités ludiques, des activités d’apprentissage traditionnel par groupes d’âge, et des lettres écrites par des élèves de sixième année partageant ce qu’ils souhaitent avoir comme terrain de jeu.
Dans sa lettre de bienvenue aux élèves, Oberlander indique que les arbres, les arbustes et les plantes couvre-sol ont été cueillis tout près, puis amenés au site. Elle souligne qu’elle espère que les élèves continueront de cueillir des baies sur le terrain scolaire, mentionnant qu’à l’exception des saules, des roses et de l’andromède glauque, les plantes couvre-sol et les arbustes sont tous porteurs de fruits. Fidèle à son dévouement pour l’utilisation de plantes locales, Oberlander s’est inspirée pour cette école de l’ethnobotanique des Gwich’in. Elle a fait des recherches sur les plantes comestibles et médicinales locales, consultant entre autres Inuvialuit Nautchiangit : Relationships Between People and Plants—un ouvrage écrit par des Anciens Inuvialuit en collaboration avec Robert W. Bandringa17—avant de sélectionner et de s’approvisionner en plantes pour l’aménagement paysager.
L’urgence de protéger les plantes traditionnelles et médicinales découle des changements climatiques, comme l’explique Oberlander dans une entrevue :
« Dans l’Arctique, les changements climatiques sont perceptibles comme nulle part ailleurs. Leur impact sur la sécurité alimentaire affecte la chasse, la cueillette et la conservation alimentaire traditionnelles. Ces changements soulignent combien il est important que les jeunes apprennent à connaître les aliments locaux. »18
C’est en cultivant des semences et des boutures, en taillant des racines d’arbres et les transplantant à proximité, et en utilisant des sections de tourbière pour réparer les zones perturbées qu’elle est parvenue à protéger la biodiversité dans l’écologie fragile des Territoires du Nord-Ouest. Oberlander cite Arctic Dreams de Barry Lopez parmi ses inspirations dans cette approche sensible au territoire. Lopez écrit :
« Que fait-on lorsque l’on visite un nouvel endroit? demanda-t-il à un homme. Sa réponse fut simple. J’écoute c’est tout. J’écoute ce que la terre me raconte. Je m’y promène longtemps et j’aiguise mes sens par déférence pour elle avant de dire un seul mot. Lorsqu’on l’aborde ainsi la terre s’ouvre à vous. »19
Oberlander a employé le langage du jeu afin de permettre aux enfants de définir comment ils choisissent d’explorer, et ainsi, comment ils interagissent avec leur environnement. Cette citation du botaniste Luther Burbank, qui paraît dans un texte d’Oberlander des années 1980, résume bien cette approche :
« Chaque enfant devrait avoir des galettes de boues, des sauterelles, des insectes aquatiques, des têtards, des grenouilles, des tortues d’eau douce, des baies de sureau, des fraises des bois, des glands, des châtaignes, des arbres à grimper, des ruisseaux où patauger, des nénuphars, des marmottes, des chauves-souris, des abeilles, des papillons, divers animaux à caresser, des champs de blé, des pommes de pin, des pierres à rouler, du sable, des serpents, des airelles, et des frelons, et tout enfant ayant été privé de cela a été privé de la meilleure partie de son éducation. »20
Oberlander a continué d’expérimenter avec le lien entre les humains et l’environnement naturel, créant entre autres une terrasse-jardin thérapeutique à l’unité des soins aux grands brûlés et de chirurgie plastique de l’Hôpital général de Vancouver en 2000, et développant également un concept pour un jardin de guérison pour l’Hôpital pour enfants de l’Alberta en 2001. Des liens plus profonds avec la nature peuvent mener à une ville plus saine et au bien-être de ses citoyens.

Oberlander Landscape at the Museum of Anthropology, University of British Columbia, 2010. Courtesy of UBC Museum of Anthropology. Photo: William McLennan. Paysage d’Oberlander au Musée d’anthropologie, Université de la Colombie-Britannique, 2010. Photo : William McLennan, avec l’aimable autorisation du Musée d’anthropologie de l’Université de la Colombie-Britannique.
En août 2018, The New York Times Magazine a publié un reportage intitulé « Losing Earth : The Decade We Almost Stopped Climate Change » (« Terre perdue : la décennie où nous avons failli mettre fin aux changements climatiques »),21 qui révélait les nombreux moments où nous ne sommes pas parvenus à réduire et à repenser nos habitudes de consommation.
Cornelia Hahn Oberlander n’a jamais été une militante contre les changements climatiques, mais elle est parvenue à travers sa longue carrière de sept décennies à sensibiliser plusieurs personnes en matière de protection de l’environnement en invitant la vie naturelle dans nos villes, en encourageant les enfants à créer des liens avec la nature, et en s’assurant que l’architecture paysagère soit accessible et bénéfique pour tous. Dans un discours donné à des étudiants de dernière année de l’Université de la Colombie-Britannique en 1991, Oberlander lançait un appel à l’action :
« Aujourd’hui, tous les diplômés travaillent avec notre ressource la plus précieuse—la TERRE. Traitez-la comme il se doit, car c’est une ressource limitée, et non pas une marchandise. Faites preuve de compassion infinie pour cette terre et cet espace dont nous sommes les intendants. N’exploitez pas ce monde. Notre bien-être sur la Terre dépend de la santé de notre environnement. Mais, développez et pratiquez par-dessus tout des processus de création et de construction éthiques, esthétiques et bienveillants. »22
Il est grand temps de suivre l’exemple d’Oberlander.
Notes
- Susan Herrington, Cornelia Hahn Oberlander: Making the Modern Landscape (Charlottesville et Londres : University of Virginia Press, 2013), p. 139-213.
- Cornelia Hahn Oberlander, « Playground Seminar » (Board of Parks and Public Recreation, Ville de Vancouver, 19 janvier 1970).
- Tim Gill, « Playing It Too Safe », RSA Journal, 154, no 5528 (2007), p. 46-51.
- Gabriela Burkhalter, The Playground Project (Zurich: JRP Ringer, 2018), p. 13.
- Cornelia Hahn Oberlander, « Parks, Playgrounds and Landscape Architecture », Community Planning Review (mars 1956), p. 6.
- Herrington, 40.
- Cornelia Hahn Oberlander, interviewée par Charles A. Birnbaum, « Pioneers of American Landscape Design Oral History Series: Cornelia Hahn Oberlander Interview Transcript », The Cultural Landscape Foundation, août 2008, https://tclf.org/pioneer/oral-history/ornelia-hahn-oberlander. Page consultée le 1er mai 2020.
- Oberlander (1956), p. 4-12.
- Lady Allen of Hurtwood, « Why Not Use Our Bomb Sites Like This? », Picture Post, 16 novembre 1946, p. 26-27.
- Polly Hill, « Children’s Creative Centre at Canada’s Expo 67 », National Association for the Education of Young Children (NAEYC), vol. 22, no 5 (mai 1967), p. 259.
- Oberlander (2008), p. 5.
- Oberlander a travaillé avec Underwood, McKinley, Cameron, Wilson & Smith, Architects sur le projet de logements à coût modique Skeena Terrace.
- Herrington, p. 45.
- Herrington, p. 183.
- Anne Raver, « Permafrost Frontier », Landscape Architecture Magazine, novembre 2013, p. 159.
- Herrington, p. 193.
- Raver, p. 159.
- Piper Bernbaum, « Super-School », Canadian Architect, 1er avril 2014, https://www.canadianarchitect.com/super-school/. Page consultée le 3 juillet 2020.
- Cornelia Hahn Oberlander, Elisabeth Whitelaw et Nina Antonetti, « Invisible Mending: Nestling Native Plants into a Boreal Site », été 2011, p. 14.
- Cornelia Hahn Oberlander, « Planning for Play Everywhere. Play in Hospitals », 1984. (Consulté aux archives du CCA en août 2019.)
- Nathaniel Rich, « Losing Earth: The Decade We Almost Stopped Climate Change », The New York Times Magazine, 1er août 2018.
- Cornelia Hahn Oberlander, « Address to the Graduating Class in Agriculture Sciences, Applied Science, Architecture, Landscape Architecture, Community and Regional Planning, Forestry, Interdisciplinary Studies », (locution, Université de la Colombie-Britannique, Vancouver, 29 mai 1991).